Comme disait le grand poète...

François VALERIE, aimons nous vivant, n'attendons pas que la mort nous trouve du talent...

Quel dommage qu'il faille attendre qu'une personne parte pour ce rendre compte à quel point nous l'aimions. La douleur de ses enfants ajoute à notre peine, on se souvient de petits moments, d'anecdotes, brefs, on se rattache aux souvenirs qu'ils nous restent. On est obligé de ramener cela à soit, de se mettre à la place de…. Cette journée me restera longtemps en esprit. Pace que c'est cette fois en "adulte" que j'affronte la disparition d'un membre de ma famille et parce qu'il faut monter, aux personnes qui restent et auxquelles on tient qu'on sera toujours là pour les soutenir, parce que j'ai su, (et il a fallu passer mon adolescence rebelle), me laissait prendre dans les bras de mon père, parce que cette fois c'est à lui de pouvoir compter sur la force de ses filles....Bref, il aura fallu une triste journée pour que j'admette que j'ai grandi.